Activités

Workshop de Léo Henni « Se lier par nos craintes : résonner dans l’espace liminaire »

Type d'activité : Atelier
Date de l'activité : 29 mars 2025
Lieu : UQAM, pavillon de Danse (840, rue Cherrier, Montréal, H2L 1H4), local K-R380

Notre membre étudiant-e Léo Henni animera l’atelier « Dooming As a Collective: Kin, Dread and Liminal Spaces / Se lier par nos craintes : résonner dans l’espace liminaire » le samedi 29 mars, de 10 h à 17 h, à l’UQAM (pavillon de Danse, local K-R380). L’activité, qui se déroulera en français et en anglais, s’inscrit dans le cadre de la série Le workshop comme méthodologie de recherche-création, soutenue par l’AEDEPA et les Services à la vie étudiante de l’UQAM. 

Inscription obligatoire à l’adresse suivante : laliberte.frederique@courrier.uqam.ca

Les personnes PANDC, trans, queer, handi et neurodivergent-es sont invitées à participer à l’évènement. Veuillez toutefois noter que l’activité impliquera des déplacements dans l’espace, notamment dans un lieu accessible uniquement par escalier et un couloir très étroit. Vous pouvez faire part de vos besoins en matière d’accessibilité lors de votre inscription, et l’équipe explorera avec vous les adaptations possibles.

Présentation de l’atelier
« Nous traversons chaque jour des couloirs, des halls, des quais de transport ou autres bureaux vides. Parfois, souvent la nuit, nous sommes les dernier·ères à nous y trouver. Se dégage alors de ces lieux, que l’on regroupe sous le terme de liminal spaces – ou espaces liminaires – une certaine tranquillité teintée d’inconfort. Véritable métaphore de notre époque, inquiétante mais débordante de potentiels et de portails vers d’autres mondes, ces non/lieux vont nous révéler toute leur profondeur et la capacité qu’ils ont de nous aider à penser au-delà des crises qui nous accablent. L’objectif de ce workshop est de documenter et de créer à partir des traces laissées avant nous dans ces espaces transitoires. Pendant toute une journée, vous serez invité-es à entrer en résonance avec un grand espace, qui intègre des couloirs, des casiers, une cantine, des douches… et une mystérieuse grande salle avec bien des objets scéniques intrigants. Ce projet a pour essence de faire commun autour des affects négatifs, loin de la positivité toxique productiviste et néolibérale, de trouver douceur dans la souffrance, amitié dans une forêt sombre, connexion dans le rien. »

Pour plus de détails, consultez l’évènement Facebook.

Membres étudiant-es du CELAT concerné-es : Léo Yonis Henni